13 septembre 2014

La Dernière Terre

La Dernière Terre, tome 1
Anciennement édité chez l'Homme Debout
(comprendre L'homme Sans Nom : HSN)

Écrit par Magali Villeneuve(-Dainche) et co-scénarisé par Alexandre Dainche qui en a d'ailleurs fait les magnifiques couvertures. (Magalex, des gens qui sont bien, mangez-en !)


Que dire ?
Tant et plus.
Une saga prévue en six tomes (deux sortis), cataloguée, si on doit lui coller une étiquette, dans la dark fantasy.
Je n’aime pas les étiquettes. Alors je préfère le mettre dans les bons livres. Très bons, même. C’est complet ! Un monde intéressant, une histoire qui déchire, des personnages profonds, touchants, déroutants !
J’ai acquis les tomes 1 et 2 lors d’une séance de dédicaces. Je n’avais vu que rapidement des avis de blogueurs qui encensaient ces deux premiers tomes.
J’y suis allée, j’ai discuté avec Magali et Nalex, l’équipe gagnante. J’y suis allée les yeux fermés, après avoir découvert ces deux personnes, adorables, souriantes, sans même connaitre leur œuvre, j’ai pris plaisir à les rencontrer, déjà. 
Je leur ai un peu foutu la pression, pour rire, parce que j’achetais sans connaitre, parce qu’ils avaient intérêt d’être à la hauteur, tout ça ! Genre je peux me permettre de juger. J’ai abusé. Je le sais, mais ils l’ont pris pour ce que c’était, la crainte d’une future lectrice d’être déçue d’un achat coup de tête. 
J’ai attendu pour le lire. Un mois et demi. Parce que c’était mon cadeau d’anniversaire. C’est long. Et j’ai découvert un livre… 
Un livre à lire.
À dévorer. À savourer !


La Dernière Terre, tome 2
Je ne saurai pas décrire le plaisir que j’ai eu à cette lecture. Les dialogues sont succulents, drôles, les descriptions ne sont jamais chiantes, les actions sont claires et bien écrites… C’est frustrant ! Le vocabulaire est riche, fourni, sans pour autant être lourd. Non, vraiment, un pur plaisir. Sans parler des émotions qui nous habitent durant la lecture ! On enrage parce qu’untel a des réactions connes, on tremble parce qu’un autre souffre, on sourit, souvent, parce que deux autres se prennent la tête gentiment. On rit, même. Et là, surtout, on attend... la Suite !
J’ai un poil le sentiment de me répéter, mais je n’ai qu’une chose à dire : lisez-le !
 
Bon, et sinon, ce Tome Trois ?






Tome 1 : L'enfant Meredhian
Un monumental ruban de pierre se dresse en sentinelle au bord des brumes éternelles.
Les hommes leur ont donné un nom : la Dernière Terre.
Dans la cité-capitale des Cinq Territoires, Cahir, jeune homme frêle, maladif, aux mœurs et aux allures bien éloignées des codes stricts qui font loi autour de lui, subsiste envers et contre la réprobation générale. Il est issu des Giddires, un peuple rejeté, au ban de la paix politique qui unit les autres contrées. Malgré cela, entre intelligence et ingénuité, il parvient à se rapprocher de certains locaux, dont Ghent, fils du Haut-Capitaine à la tête des forces militaires des Basses-Terres.
Au fil de ces jours paisibles, s’il advenait un événement capable de bouleverser tous les dogmes établis, quel poids l’existence de Cahir aurait-elle dans la balance des certitudes ?

Tome 2 : Des certitudes
Dans les Cinq Territoires, les saisons débutent un autre cycle et à nouveau, la Grande Relève en marquera l’amorce. Renvoyé vers son pays d’origine, Cahir, rongé par l’amertume et hanté par ses souvenirs, tente de retrouver sa place parmi les siens.
Tandis que, dans la cité-capitale, l’on a préféré effacer toute trace du drame pour mieux l’oublier, certaines culpabilités, quoique silencieuses encore, commencent à peser lourd.
Derrière les murs inébranlables de la tour du Nolath, l’Igilh reçoit un message glaçant en provenance des Plaines de Tilh. Il lui faut prendre une réelle décision. De celles qui, dépendantes d’un seul homme, peuvent déterminer pourtant le devenir de chacun.